Une blessure peut survenir à tout moment et constitue l'effet secondaire inévitable d'une vie de coureur. Pour un athlète ou un coureur, le monde ne tourne qu'autour de savoir comment revenir à la course à pied après une coupure. Cela peut ne durer que quelques jours, des mois ou plus. Peu importe dans quelle mesure vos chaussures de trail ont accumulé des toiles d'araignée, il est indispensable de revenir prudemment pour éviter toute blessure et tout épuisement. La principale inquiétude lorsque vous revenez à la course à pied est que votre esprit peut avoir envie de composer des montres que vos jambes ne sont pas prêtes à encaisser. Si vous dépassez votre record, vous vous retrouverez idéalement au point de départ - inapte à courir, cette fois à cause de blessures comme des fissures de pression du tibia, une tendinite du genou ou un frottement extrême des mamelons. Alors comment s'assurer de revenir en toute sécurité et intelligemment ? Voici quelques conseils à suivre.
Attendez d'être prêt
Retourner à la course à pied après une blessure ou une opération ressemble à la vérification de votre côté vulnérable pendant la conduite. Le plus souvent, échanger rapidement des chemins ne constitue pas une épreuve majeure. Comme il suffit d'une seule erreur pour gâcher toute votre journée, vous devez être très prudent lorsque vous faites un pas. Dans ce cas, vérifier son côté vulnérable, c'est se réserver un jour ou deux de plus pour courir après avoir pensé que tout irait bien. La dernière phase de récupération est importante, et il est plus intelligent d'être à 99 % confiant qu'à 1 % sous-défensif.
Courez progressivement au début, avec des pauses pour marcher si nécessaire
La règle la plus importante est d'y aller progressivement lorsque vous reprenez. Même pour des coupures plus longues, votre système aérobie aura envie de revenir à vos anciennes allures idéales. Il y aura des chances que, pendant la restauration, votre économie de course et votre cadre musculo-squelettique ne soient pas adaptés au rythme. Il faut voir le premier morceau d'évaluation de la course comme une occasion de s'habituer aux forces d'effet, et non comme un entraînement ordinaire. Si la course est encore un exercice trop douloureux, nager peut être une excellente alternative. Vous pourrez même acheter une combinaison swimrum pratique, utilisable autant pour courir que dans l'eau.
Commencez par des marches rapides
Un principe général est que si quelque chose vous cause des problèmes en marchant, vous ne devriez pas continuer à courir dessus. La marche est l'étape la plus sûre qui exerce une faible pression sur votre cadre musculo-squelettique, ce qui rend la progression vers la course plus fluide. Il est conseillé de faire des promenades faciles de 30 à 60 minutes pendant au moins un jour ou deux pour les coupures courtes, et jusqu'à environ quatorze jours pour les coupures plus longues.
Revenez progressivement à une fréquence et une intensité plus élevées
Un bon principe général est qu'il faut un peu de temps pour s'adapter à un stimulus d'entraînement. Ainsi, chaque fois que vous présentez une nouvelle amélioration, donnez à votre corps le temps de l'assimiler avant d'élargir le tas essentiellement.
En revanche, il n'existe pas de principe immuable pour le retour après une blessure ou une opération, en tant que tel. Veillez simplement à ne pas revenir trop fort et trop vite. En vous glissant pas à pas dans le travail de vitesse, vous serez à même de vous fixer de nouveaux objectifs.